Analyse de la forme bénigne de SP grâce à l’IRM
Analyse de la forme bénigne de SP grâce à l’IRM et à d’autres techniques d’imagerie, réalisée par des chercheurs européens
Résumé :
Un groupe de spécialistes du domaine de l’imagerie de la SP vient de publier de nouvelles données cliniques et d’imagerie qui pourraient expliquer pourquoi certaines personnes ne sont atteintes que d’une forme légère de sclérose en plaques (SP),
qu’on dit aussi « bénigne ». Ils recommandent de prendre en compte non seulement les fonctions physiques, mais aussi les fonctions cognitives, avant de poser un diagnostic de SP bénigne. Massimo Filippi, M.D. (Scientific Institute and University
Ospedale San Raffaele, Milan, Italie) et ses collègues du groupe de travail MAGNIMS (groupe européen s’intéressant à la SP et à l’imagerie par résonance magnétique), présentent les résultats de leurs travaux dans la revue Neurology.