L'ensoleillement, la vitamine D, la mélatonine et le microbiote intestinal parmi les rouages de cette maladie. Un article paru récemment dans Frontiers in Immunology avance une nouvelle hypothèse pour expliquer la cascade de réactions conduisant à la sclérose en plaques. Le premier auteur de l’étude, Majid Ghareghani, doctorant à la Faculté de médecine, croit que le mécanisme que ses collaborateurs et lui proposent pourrait améliorer la prévention et le traitement de cette maladie. La sclérose en plaques est une maladie auto-immune qui frappe le système nerveux central. «Elle est caractérisée par une réponse anormale du système immunitaire, qui se retourne (...)