Mois : juin 2016
La campagne 2016 de la Fondation ARSEP
Voici le "clip" de la Fondation ARSEP, diffusé sur France Télévisions en juin 2016.
Une chimiothérapie stoppe la progression de la SEP
Une puissante chimiothérapie a permis de stopper l’évolution de la sclérose en plaques chez les patients d’un essai. Le traitement a toutefois entraîné la mort d’un participant. C’est une annonce pleine de promesses, mais aussi d’interrogations. Grâce à une puissante chimiothérapie, des médecins britanniques sont parvenus à contenir la sclérose en plaques (SEP) chez 23 patients au cours d’une étude dont les résultats sont publiés dans le Lancet. Les auteurs expliquent ainsi avoir pu stopper les rechutes et le développement de nouvelles lésions cérébrales liées à la SEP, sans avoir à poursuivre une thérapie médicamenteuse. (suite…)
Nouvelles récentes sur la recherche en SEP (Canada)
Une étude phare financée par la Fondation pour la recherche scientifique sur la SEP montre que la « reconstitution » du système immunitaire stoppe l’activité de la maladie et favorise une rémission chez les personnes présentant une forme de sclérose en plaques à évolution rapide Contexte Actuellement, les médicaments modificateurs de l’évolution de la SEP (MMÉSP) homologués pour le traitement de la sclérose en plaques (SEP) semblent freiner la réponse auto-immune nocive dirigée contre les tissus du système nerveux central (SNC). De nombreuses personnes qui vivent avec la SEP bénéficient des effets mesurables de ces médicaments qui (...)
Des chercheurs canadiens identifient le premier gène associé à la sclérose en plaques
Le premier gène associé à la sclérose en plaques a été identifié par des chercheurs canadiens et permet d'expliquer ce qui était jusqu'à présent inexplicable : pourquoi, dans certaines familles, des membres sont-ils plus susceptibles d'être atteints par la maladie que d'autres? Une équipe de l'Université de la Colombie-Britannique est à l'origine de cette découverte importante, qui a été récemment publiée dans la revue Neuron. Les chercheurs savaient qu'il existait une composante héréditaire pour cette maladie neurodégénérative. Ils l'ont enfin prouvé avec cette découverte. (suite…)