Les traumatismes subis pendant l'enfance pourraient être liés à un risque accru de sclérose en plaques (SEP) à un âge plus avancé chez les femmes. Le terrain pro-inflammatoire de ces victimes serait une explication biologique plausible On savait déjà que les traumatismes de l'enfance pouvaient altérer le système immunitaire et augmenter le risque de maladie auto-immune, et que les mauvais traitements, la négligence et une vie familiale chaotique étaient associés à un risque accru de mauvaise santé mentale et physique à l'âge adulte. Une étude publiée dans le Journal of Neurology Neurosurgery & Psychiatry et réalisée sur près de 78 (...)